Vidéo-protection à Rodez : un premier plan de 31 caméras... pour voir

D’emblée, le maire entend poser les bases : il ne s’agit «en aucun cas» d’un projet de vidéosurveillance mais de «vidéoprotection». «On n’entend pas fliquer les gens dans les rues. Les images seront enregistrées 30 jours maximum comme le veut la loi. Elles ne seront accessibles qu’à la mairie, au procureur et au commissariat... Lire la suite