À Rodez, le «nous» plutôt que le jeu

Football. Beau à voir mais souvent dominé la saison dernière, le Raf s’en remet désormais à son collectif. Et ça paye. En 2006, lors de la Coupe du monde en Allemagne, les Bleus avaient trimballé une phrase en bandoulière jusqu’en finale. «On vit ensemble, on meurt ensemble», répétaient-ils. Puis la maxime s’était... Lire la suite